Discographie
générale Johann-Gottlieb Naumann : premier bilan |
07/2003 |
Saison
2002 - Bourse
Löwenjhelm
Fonds
documentaire sur
Johann-Gottlieb Naumann (1741-1801)
Discographie générale
(Premier
Bilan)
par
Benoît Dumas
sous
la direction de Rémy-Michel Trotier,
Responsable des Études musicales
Préface
Le
développement d’une musicologie importante au XXème
siècle - plus encore que lors des siècles précédents - a
permis de constituer une meilleure connaissance des enjeux,
des processus d’élaboration et des caractérisations
stylistiques de la musique des siècles passés, et en
particulier de la musique de l’âge classique. Mais il a,
conjointement et dans le même mouvement, instauré un
filtre qui déforme, réoriente et colore de façon
permanente cette même connaissance en élisant de façon
subjective les traits les plus saillants de la perception
que nous pouvons avoir de cette musique et de son inclusion
dans une époque.
L’étude
de ce filtre, qui est avant tout un filtre collectif,
ne fait pas directement l’objet des présents
travaux ; elle serait trop complexe, y compris dans le
nombre de ses composantes. Il y faudrait analyser de
nombreux mécanismes qui ont conduit à modifier de façon
durable l’écoute et la réception de la musique –
analyse d’autant plus périlleuse que c’est
précisément au XVIIIème siècle que l’émergence
d’une pensée philosophique ayant pour objet la musique a
conduit à cette modification. Parmi les principaux
symptômes de cette évolution, la transformation radicale
du rapport de la scène et de la salle d’une part, du
rapport du texte et de la musique (où le rapport à la
langue est progressivement devenu prééminent) d’autre
part nous paraissent être les facteurs principaux qui nous
empêchent à jamais d’imaginer de quelle façon les
œuvres musicales pouvaient être entendues par les
contemporains de Gustave III.
Paradoxalement,
cette métamorphose de notre perception
épistémologique de la production sonore est d’autant
plus remarquable que les interprétations données des
œuvres du passé ont cherché, au cours du siècle, à
gagner le plus possible en fidélité – que ce soit dans l’instrumentarium
employé, dans la manière d’en jouer, en incluant la voix
humaine, ou encore dans les lieux de représentation. Le disque
pose cependant avec acuité la question d’une perception
à la fois pure et absolue de la musique, en même temps
vidée de ses composantes visuelles, pourtant
intrinsèquement partie de la représentation musicale à l’époque
classique/baroque. Cette situation montre toutefois que les
interprètes ont été, dans cette modification
perceptuelle, des acteurs de premier plan.
Ils
sont rejoints par une autre catégorie d’intervenants, les
chercheurs et les historiens de la musique. Les chercheurs d’une
part, les interprètes d’autre part agissent encore sous l’emprise
d’un paradigme dominant au XXème siècle, qui
affirme la nécessité d’une vision historique, large,
exhaustive de l’histoire et de la géographie de la
musique et des pratiques instrumentales et vocales,
essentielle en premier lieu à l’interprétation de la
musique contemporaine, en second ressort à celle de la
musique du passé. De ce double rôle d’analyste et
de traducteur, joué tant par les uns que par les
autres, provient cette ré-formation de l’appréhension
que nous pouvons avoir, en tant qu’auditeurs, de la
musique dite classique.
L’un
des enjeux forts de notre démarche est également de
prendre en compte la réalité d’une dimension culturelle
européenne, telle qu’elle a existé à la fin du XVIIIème
siècle et telle que nous la pouvons percevoir dans une
Europe désormais constituée.
Possible
prototype de cette dimension européenne, le compositeur
allemand Johan-Gottlieb Naumann s'est rendu deux fois en
Suède ; la deuxième fois, en 1782, il répondait à
l'invitation de Gustave III à venir contribuer au
développement de l'opéra national en écrivant Gustaf
Wasa. Ce compositeur est donc une figure importante dans
l'histoire de la musique de la Suède et de sa relation avec
l'Europe en termes d'échanges intellectuels.
Mais
l’œuvre de Naumann est loin de se limiter à ce trait d’union
entre son pays d’origine et son pays d’accueil.
Particulièrement prolifique, particulièrement itinérant,
même pour son époque, Johann-Gottlieb Naumann a laissé un
corpus important d’œuvres où non seulement tous les
genres : musique d’église, d’opéra, vocale, d’orchestre,
concertante et de chambre, sont représentés, mais où la
marque stylistique de chaque pays visité se révèle au fil
du temps. Les nombreux opéras, par exemple, témoignent
successivement des influences ressenties en Italie, en
Suède, au Danemark, à Berlin et à Dresde, sans jamais
défaire cependant un style personnel fait d’équilibre
entre expressivité et grandeur, marque de fabrique de la
fin du XVIIIème siècle. La musique de Naumann
traduit peut-être mieux que tout autre le bouillonnement d’influences
croisées qui est celui de son époque, et que Gustave III
a su s’adjoindre pour le plus grand profit de l’opéra
national suédois. En un seul homme semble ainsi s’être
incarnée toute la musique du temps.
***
Le
fait de circonscrire la recherche à l’étude de l’œuvre
musicale, particulièrement généreuse, d’un seul homme,
permettra d'approfondir la méthode de recensement et de
classement des documents. Le référencement des documents
sur Naumann est l'occasion d’établir un système
raisonné, à étendre à de nouvelles recherches.
Rémy-Michel
Trotier
16
juillet 2003
Approche pour la Discographie
Le
présent document rend compte de la partie discographique du
fonds documentaire sur Naumann. Sa constitution s'appuie à
ce jour sur des contributions et des donations personnelles
des membres de l'Académie. Des achats effectués
directement par l'organisation restent néanmoins
envisageables de façon exceptionnelle, par exemple par
achat de collections si l'occasion se présente.
Avec
Patrick Rondeau, qui comme moi-même travaille dans
l'industrie musicale, nous avons identifié et acquis un
certain nombre d’enregistrements de la musique de Naumann.
Nous mettons ces enregistrements à la disposition des
membres de l’Académie Desprez sous la forme de deux fonds, le Fonds
Patrick Rondeau et le Fonds Benoît Dumas. S’y
ajoutent les enregistrements déjà présents dans les
collections personnelles d’autres membres du groupe de
recherche, que nous avons également répertoriés.
Ce
document fournit donc la liste des enregistrements aujourd’hui
disponibles.
Benoît
Dumas
18
Juillet 2003
Académie Desprez
Fonds Documentaire Naumann
Discographie
Musique
d’Église
Psaumes 96 et
103
Körnerscher
Sing-Verein Dresden / Dresden Instrumental-Concert
Direction : Peter Kopp
Edition : Ars Musici / Référence : AM1277-2 /
Code barre : 4017563127729
[ AD : BD ]
Couplés avec :
Ouverture de Gustaf Wasa
Cantate « Kommt herzu »
Bettina Eismann : soprano
Elisabeth Wilke : alto
Werner Güra : ténor
Egbert Junghanns : basse
Sebastian Knebel : orgue et clavecin
Il existe une première référence (Koch Schwann ?),
anciennement distribuée par Abeille Musique.
Cette référence a eu probablement une durée de vie très
courte pour faire place à celle d’Ars Musici.
Opéra
Acis
e Galatae (osia I Ciclopi Amanti)
Drama
giocoso per Musica. Livret de Giuseppe Foppa
Choeur de Chambre de Stuttgart & Orchestre
Baroque de Stuttgart
Direction : Frieder Bernius
Editeur : Orfeo / Référence : C 222 022 H
[ AD : PaR ]
Brigitte
Geller : Galatea
Martin Homrich : Aci, son amant
Klaus Häger : Polifemo, amant de Galatea
Christiane Libor : Dorinda, adepte de Galatea
Ulf Bästlein : Orgonte, adepte de Galatea, amant de
Dorinda
Marcus Ullmann : Lisia, amant de Dorinda
Wilhelm Schwinghammer : Nettuno
Amphion
– Ouverture
Nationalmuseum-Kammerorchester Stockholm/ Direction :Génétay.
Editeur : Musicae Sveciae / Références : CAP500
407 ou MCD 407
[ AD : GB ]
Couplée
avec la musique de ballet de l’opéra « Cora et
Alonzo ».
Disque intitulé « Gustavian Composers »,
Couplée également avec :
Joseph Martin KRAUS (1756-1792) : Symphonie en mi b
Francesco Antonio UTTINI : ouverture et entracte d’Aline,
musique de ballet de Thétis och Pélée
Abbé
Georg Joseph VOGLER ( 1749-1814): Symphonie en ut
Amphion –
Arias
- Med dig sång, du redan funnit (air d’Antiope,
scène 6)
Drottningholm Baroque Ensemble / Direction : Thomas
Schuback.
Editeur : Musicae Sveciae / Référence : MSCD 426
[ AD : RMT ]
Disque
intitulé « Gustavian Opera »,
Gertrud Hoffstedt (soprano)
Hillevi Martinpelto (soprano)
Stefan Dhalberg
(ténor)
Per-Arne Wahlgren
(baryton)
Couplés également
avec :
Francesco Antonio
UTTINI ( 1723-1795) : airs de Thétis och Pelée
Johann Christian
Friedrich HAEFFNER : airs d’Elektra
Cora och
Alonzo – Musique de ballet
Nationalmuseum-Kammerorchester Stockholm/ Direction :
Génétay.
Editeur : Musicae Sveciae / Références : CAP500
407 / MCD 407
[ AD : GB ]
Couplée avec l’ouverture
d’Amphion.
Disque intitulé
« Gustavian Composers »,
Couplée également
avec :
Joseph Martin KRAUS (1756-1792) : Symphonie en mi b
Francesco Antonio UTTINI (1723-1795) : Aline, Thétis
(ballets)
Abbé Georg
Joseph VOGLER (1749-1814) : Symphonie en ut
Cora
och Alonzo – Arias et Duos
- Kom, fölg mig ! (duo
Zulma-Cora, Acte I, scène 1)
- Du lever, Cora, du är frälsad (aria Alonzo,
Acte II, scène 1)
- Jag lever
och lever för er ! (aria Cora, Acte III, scène
3)
Drottningholm Baroque Ensemble / Direction : Thomas
Schuback.
Editeur : Musicae Sveciae / Référence : MSCD 426
[ AD : RMT ]
Disque
intitulé « Gustavian Opera »,
Gertrud Hoffstedt (soprano)
Hillevi Martinpelto (soprano)
Stefan Dhalberg (ténor)
Per-Arne Wahlgren (baryton)
Couplés également avec :
Francesco Antonio
UTTINI ( 1723-1795) : airs de Thétis och Pelée
Johann Christian Friedrich HAEFFNER : airs d’Elektra
Cora
und Alonzo
Concerto Köln / Dresden Kammerchor / Direction :
René Jacobs
Enregistrement public en version de concert, Dresde, le 18
août 2001.
Non édité.
[ AD : RMT ]
Inga
Kalna : Cora
Bernarda Fink : Alonzo
Johannes Chum : Ataliba
Markus Marquardt : Recca, le père de Coras
Sandra Moon : Elina
Raimund Nolte : le Prêtre
Gustaf
Wasa
Lyrisk
Tragedie I Tre Acter. Livret de J. H. Kellgren.
Orchestre de l’Opéra de Stockholm / Direction :
Philip Brumell.
Editeur : Virgin Classic / Référence : Vir
667-545 148-2 (2CDs)
[ AD : GB ]
Lena
Nordin (soprano) : Christina Gyllenstierna
Inger Blom : Anna Bielke
Nicolai Gedda (ténor) : Christjern
Anders Andersson (ténor) : Gustav Wassa
Staffan
Sandlund : Lars Sparre
Tord Wallström (basse) : Severin Norrby
Eva Pilat : Margaretha Wasa
Dorrit Kleimert (soprano) : Cecilia af Eka
Henrik Westberg : Un soldat danois
Sonny Walentin : un officier danois (acte I)
Gustaf Wasa
Ouverture
Körnerscher Sing-Verein Dresden / Dresden
Instrumental-Concert
Direction : Peter Kopp
Edition : Ars Musici / Référence : AM1277-2 /
Code barre : 4017563127729
[ AD : BD ]
Couplés
avec :
Kommt Herzu
Psaumes 96 et 103.
Bettina Eismann : soprano
Elisabeth Wilke : alto
Werner Güra :
ténor
Egbert Junghanns : basse
Sebastian Knebel : orgue et clavecin
Il existe une première référence (Koch Schwann ?),
anciennement distribuée par Abeille Musique.
Cette référence a eu probablement une durée de vie très
courte pour faire place à celle d’Ars Musici.
Cantate
Kommt Herzu
Körnerscher
Sing-Verein Dresden / Dresden Instrumental-Concert
Direction : Peter Kopp
Edition : Ars Musici / Référence : AM1277-2 /
Code barre : 4017563127729
[ AD : BD ]
Couplée avec :
Ouverture de Gustaf Wasa
Psaumes 96 et 103;
Bettina Eismann : soprano
Elisabeth Wilke : alto
Werner Güra : ténor
Egbert Junghanns : basse
Sebastian Knebel : orgue et clavecin
Il existe une première référence (Koch Schwann ?),
anciennement distribuée par Abeille Musique.
Cette référence a eu probablement une durée de vie très
courte pour faire place à celle d’Ars Musici.
Musique
Concertante
Concerto pour
clavecin ou pianoforte
en
si bémol majeur, avec l’accompagnement de 2 flûtes, 2
hautbois, 2 cors, viole et basse
Christine Schornsheim : pianoforte / Berliner
Barock-Compagney
Editeur : Capriccio / Référence : 67 002
[ AD : BD ]
Couplé avec :
Francesco Antonio ROSETTI (1750-1792) : concerto en sol
majeur pour clavier, 2 flûtes, 2 cors,
un ensemble à cordes
et une basse continue.
Ernst Wilhelm WOLF
(1735-1792) : concerto n°1, en sol majeur, pour
clavecin,
2 violons et basse
continue
Musique
de Chambre
Quatuor
en ut majeur
pour flûte
traversière, violon, clavecin et basse
Andante piano - Tempo di Menuetto
Anders Berg : flûte traversière / Sören Jansson : violon
Bernt Malmros : clavecin / Regina Bohlin : violoncelle
Editeurs : Stockholms Läns Museum et Pasticcio /
Référence : ABLMD1
[ AD : GB ]
Disque intitulé : "Ett musikaliskt strövtåg i det
Gustavianska Stockholm"
Couplé
avec :
Johan Fredrik GRENSER ( ?-1795) : Trio en ut majeur opus 1
n°5, pour flûte, violon et basse
Marche en la mineur pour clavier,
transcrite pour flûte, violon, alto et violon celle
Olof ǺHLSTRÖM (1756-1835) : Marche en ut mineur pour
clavier,
transcrite pour flûte, violon, alto et
violoncelle
Georg Joseph VOGLER (1749-1814) : Trio en mi bémol majeur
pour pianoforte
avec l'accompagnement d'un violon et violoncelle
Johan David ZANDER (175?-1796) : Adagio en fa majeur pour
flûte, violon et violon celle
Anders WESSTRÖM (1722-1781) : "Poloneze Suezeso"
de la sonate en ut majeur
pour violon et violoncelle
Johann Gustav SIMSON (1753-1787) : Adagio de la sonate pour
violon et violoncelle
Johan Helmich ROMAN (1694-1758) : Larghetto en ut majeur de
la suite en ut mineur
pour flûte, 2 violons et violoncelle
Christian
Friedrich MÜLLER (1752-1827) : Sonate "per il Violino
di Müller" en sol mineur
pour violon et violoncelle
Francesco Antonio UTTINI (1723-1795) : Sonate (Trio) en sol
majeur opus 1 n°1
pour
flûte, violon et violoncelle
Duo
« Wie ein Hirte sein Volk zu weiden »
pour harpe de verre et luth
Ingeborg Emge : harpe de verre / Pierre Gross :
luth
Enregistrement à l’Eglise d’Etoy, réalisé en 1999 /
Editon en 2000
Editeur : Gallo / Référence : CD-1045
[ AD : BD ]
Disque
intitulé : « Harpe de verre et luth »
Couplé avec les sonates n°8 et 10
Couplé également avec :
Jean Baptiste L’OEILLET DE GANT (1688- ?) : 4
duos pour harpe de verre et luth, Adagio en la mineur,
Gigue, Adagio en mi mineur et Gavotte
Bruno HOFFMANN (1913-1991) : 2 chorals pour harpe de
verre, Gavotte pour harpe de verre
Johann Friedrich REICHARDT (1752-1814) : Grazioso pour
harmonica de verre
Silvius Leopold WEISS (1686-1775) : Suite en la majeur
« Le fameux Corsaire » pour luth
Heinrich SUTERMEISTER (1910-1995) : Bühnenmusik für
Glasharfe ; Der Keise und die Hexe, Ludwig II, Das
Gespenst von Canterville et Le Buisson ardent
Sonate
n°1
pour
harpe de verre
Ingeborg Emge : harpe de verre
Editeur : GALLO / Référence : CD-940
[ AD : BD ]
Couplée
avec :
Fred SCHNAUBELT (1910) : « Petite
impression », concertino, « Caprice » pour
harpe de verre
Vaclav Vincenc MASEK (1755-1831) : six Variations, pour
harmonica de verre
Harald GENZMER (1909) : Introduction et Allegro, pour
harpe de verre
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791) : Adagio en do majeur
K.617a, pour harmonica de verre
Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) : Romance en mi
bémol majeur, pour harmonica de verre
Siegfried BARCHET (1918-1982) : Aphorisme, pour harpe
de verre
Johann Abraham Peter SCHULZ (1747-1800) : Largo en do
mineur, pour harmonica de verre
Bruno HOFFMAN (1913-1991) : Scherzo
« Etoiles filantes », pour harpe de verre
Sonate
n°3
Pour glassharmonica
Thomas Bloch : glassharmonica
Editeur : Naxos / Références : 8.555295 / Code
barre : 747313529520
[ AD : PaR ]
Couplée
avec :
Johann Abraham Peter SCHULZ (1747-1800) : Largo
Johann Julius Sontag von HOLT SOMBACH (1962) : Adagio,
1ère suite (Fantaisie, Allemande, Menuet)
Johann Friedrich REICHARDT (1752-1814) : Rondeau
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791): Adagio K.356
(K.617a), Adagio und Rondo K617
Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) : Melodram
Karl Leopold RÖLLING ( ?-1804) : Kleine
Tonstücke
David August von APELL(1754-1832) : Trionfo della
musica, cantate
Gaetano DONIZETTI (1797-1848) : Lucia di Lammermoor,
scène de la folie
Thomas BLOCH : Sancta Maria
NB :
Également disponible sous la forme d’un CD promotionnel,
non commercialisé. [ AD : RMT ]
Sonate n°8
Pour harpe de verre
Ingeborg Emge : harpe de verre / Pierre Gross :
luth
Enregistrement à l’Eglise d’Etoy, réalisé en 1999 /
Editon en 2000
Editeur : Gallo / Référence : CD-1045
[ AD : BD ]
Disque
intitulé : « Harpe de verre et luth »
Couplé avec la sonate n°10 et le duo en sol « Wie
ein Hirte sein Volk zu weden »
Couplé également avec :
Jean Baptiste L’OEILLET DE GANT (1688- ?) : 4
duos pour harpe de verre et luth, Adagio en la mineur,
Gigue, Adagio en mi mineur et Gavotte
Bruno HOFFMANN (1913-1991) : 2 chorals pour harpe de
verre, Gavotte pour harpe de verre
Johann Friedrich REICHARDT (1752-1814) : Grazioso pour
harmonica de verre
Silvius Leopold WEISS (1686-1775) : Suite en la majeur
« Le fameux Corsaire » pour luth
Heinrich SUTERMEISTER (1910-1995) : Bühnenmusik für
Glasharfe ; Der Keise und die Hexe, Ludwig II, Das
Gespenst von Canterville et Le Buisson ardent
Sonate
n°10
pour
harpe de verre
Ingeborg Emge : harpe de verre / Pierre Gross :
luth
Enregistrement à l’Eglise d’Etoy, réalisé en 1999 /
Editon en 2000
Editeur : Gallo / Référence : CD-1045
[ AD : BD ]
Disque
intitulé : « Harpe de verre et luth »
Couplé avec la sonate n°8 et le duo en sol « Wie ein
Hirte sein Volk zu weden »
Couplé également avec :
Jean Baptiste L’OEILLET DE GANT (1688- ?) : 4
duos pour harpe de verre et luth, Adagio en la mineur,
Gigue, Adagio en mi mineur et Gavotte
Bruno HOFFMANN (1913-1991) : 2 chorals pour harpe de
verre, Gavotte pour harpe de verre
Johann Friedrich REICHARDT (1752-1814) : Grazioso pour
harmonica de verre
Silvius Leopold WEISS
(1686-1775) : Suite en la majeur « Le fameux
Corsaire » pour luth
Heinrich SUTERMEISTER (1910-1995) : Bühnenmusik für
Glasharfe ; Der Keise und die Hexe, Ludwig II, Das
Gespenst von Canterville et Le Buisson ardent
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